Lettres à la fiancée
C'est une correspondance où le poète célèbre cette volupté de la rêverie, de l'espoir et de la foi, de tout ce qui est le charme vic torieux des vingt ans. Un parfum s'en exhale, comme des fleurs toutes scintillantes encore de rosée. On lit charmé ce roman «vécu» ou plutôt cette idylle pareille à celle que l'auteur des «Misérables» place dans une rue disparue du vieux Paris et où la mélancolie de Marius répond au sourire de Cosette.